Une personne moderne passe en moyenne 8 à 10 heures par jour en position assise : à un bureau, au volant, sur le canapé. Un tel mode de vie, même en l’absence de maladies, détruit progressivement l’organisme : les muscles s’affaiblissent, la posture est perturbée, le métabolisme ralentit et le cerveau reçoit moins d’oxygène. Dans ce contexte, le sport n’est pas un luxe, mais une protection nécessaire contre les conséquences de la sédentarité.
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L’une des principales conséquences de la sédentarité est l’atrophie musculaire et le déséquilibre. Une position assise prolongée entraîne un raccourcissement des muscles des cuisses et du bas du dos, ainsi qu’un affaiblissement des fessiers et des abdominaux. Cela provoque des maux de dos, des maux de tête et des déséquilibres. Une activité physique régulière aide à rétablir l’équilibre, à renforcer le corset musculaire et à prévenir l’ostéochondrose et les hernies.
Mais le sport n’est pas seulement bénéfique pour le corps. Il a un impact direct sur le cerveau et l’état émotionnel. Pendant l’exercice, des endorphines, de la sérotonine et de la dopamine sont produites, des hormones de la joie et de la motivation. Cela réduit l’anxiété, améliore le sommeil et aide à gérer le stress. Une simple promenade de 20 minutes après le travail peut soulager les tensions plus efficacement que regarder une série.
